“ Belle analyse !

Ce sont bien les articles 8 « réparation lorsque les droits ont été bafoués », 14 « droit de se rendre dans un autre pays et d’y demander une protection », 23 « droit de travailler, de toucher un salaire juste et d’adhérer à un syndicat », 24 « droit au repos et aux loisirs », 25 « droit à un niveau de vie suffisant pour assurer sa santé et son bien-être » qui sont remis en cause.

Les notions sans enquête, et celles de contrôle de droit de séjour, de travail forcé, de non-respect des jours de repos et de conditions de vie médiocres le montrent.

L’article 30 « ne priver personne de l’un de ces droits » est également bafoué, de fait.

Bravo, vous avez franchi un nouveau cap dans vos connaissances et la défense des droits humains ! Visualisez votre progression. ”

Coupe du Monde de Football - 2022 (Qatar)

« Beaucoup d’agents de sécurité auxquels nous avons parlé savaient que leurs employeurs violaient la loi, mais se sentaient totalement démunis pour y remédier. Épuisées physiquement et psychologiquement, ces personnes continuaient d’aller travailler, sous la menace de pénalités financières – ou, pire, d’un licenciement ou de l’expulsion du pays », explique Stephen Cockburn, notre responsable Justice économique et sociale.

Découvrez ici le contenu complet d’où cette citations est extraite :  « Qatar : Des agents de sécurité soumis au travail forcé » Avril 2022

« Des réformes importantes ont été annoncées par le Qatar ces 10 dernières années, mais elles ne sont que trop peu ou pas appliquées. Officiellement, le pays a supprimé le système de la kafala, un système de parrainage qui obligeait les travailleurs migrants à obtenir un permis délivré pour quitter leur emploi. En pratique, les employeurs ont toujours le pouvoir d’empêcher les travailleurs migrants de quitter le Qatar. »

Découvrez ici le contenu complet d’où cette citations est extraite : « Qatar 2022 : Les droits humains ne doivent pas être hors-jeu ! »

« Nous demandons que des enquêtes soient menées sur les morts causées sur les chantiers, et que les responsabilités des entreprises et des autorités soient clairement établies. Le cas échéant, les familles doivent recevoir une indemnisation juste. Car aujourd’hui encore, ce sont elles qui doivent payer les frais de rapatriement des corps ! »

Découvrez ici le contenu complet d’où cette citations est extraite : « Qatar 2022 Violations massives des droits humains » Novembre 2021

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